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Nous manquons cruellement de non mutants! N'oubliez pas qu'ils auront aussi un rôle important à jouer!

Dunbrill se situe au Royaume Uni, merci de limiter les personnages américains !
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 mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH

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mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH Vide
MessageSujet: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 11:59



‹ vaughan baltimore ›
ft paul newman



trente-sept Y.O
trois juin
mille neuf cent
soixante dix huit
nottingham
so british aux
origines redneck
divorcé
hétéromo
journaliste
présentateur tv
détective
chasseur
we'll stop
this madness

POURQUOI N'AS TU PAS PRIS LE SÉRUM? › la véritable question est plutôt: pourquoi l'aurais-tu pris ? tu n'es pas un junkie en mal de sensations nouvelles, un fou furieux, ni même dégoûté de ton existence (ô combien éprouvante) au point de risquer ta vie pour quelques sensations fortes. les chances de survies sont si infimes, le type de don à l'arrivée si incertain. plus tu y réfléchis et plus tu te dis que non, définitivement, tu ne vois aucun intérêt à renoncer à ta condition d'être humain. à quoi bon devenir un monstre, au fond, tu es déjà un homme, c'est largement suffisant.

1 › nicotine. tu fumes énormément. tu avais arrêté, mais voilà quelques semaines que tu as repris, retrouvant les mêmes automatismes et les mêmes habitudes qu'auparavant. comme si tu n'avais jamais arrêté. tu avais mis fin à ta consommation de nicotine pour ta femme, qui te le demandait. puis pour ta fille, pour la préserver. mais maintenant que tu les as toutes deux perdues, tu estimes pouvoir retrouver cette dépendance. l'odeur du tabac se mêle à ton parfum et à l'effluve chewing-gum à la menthe qui te suit partout où tu vas 2 › détective. depuis la mort de ta fille, tu enquêtes, tu cherches. tu espères trouver. quelque chose, un indice, un signe. tu mets ton nez là où tu ne devrais pas, tu traînes dans les ruelles les plus sombres en quête de réponses. tu utilises ton statut de journaliste à tort et à travers ! et dire que tes parents ne croyaient pas en cet emploi. en vérité cependant, tu n'es pas certain de savoir ce que tu cherches. ou qui tu cherches. tu es certain d'une chose pourtant, c'est d'approcher. de frôler le but de tes doigts. l'objectif de ta vie depuis quelques mois. le dealer qui lui a refilé le poison qui l'a tuée. ces savants fous qui ont mis au point cet élixir de mort. tous. tu veux les trouver et leur arracher le cœur de tes mains. bien sûr, tu sais que le jour où tu pourras enfin être confronté à eux, tu perdras ton sang-froid. mais tu essaies de te préparer, moralement, psychologiquement. tu te prépares à avoir du sang sur les mains. tu te prépares à mourir aussi, puisque plus rien ne te retiendra après cela. tu es un chasseur près à traquer sa proie jusqu'au bout du monde. pur esprit de vengeance. simple besoin de faire payer au monde entier 3 › quelques souvenirs. tu es comme tout papa modèle qui se respecte: tu as une photo de ta fille dans ton porte-monnaie et une photo de ta femme à côté. tu gardes ton alliance bien dissimulée dans un tiroir de la table de chevet et tu possèdes une arme sous le matelas de ton lit, pour défendre ta famille au cas où. à bien y regarder, ta maison est comme un musée. tu gardes les shampoings, les brosses à dents, les bijoux des femmes de ta vie tels qu'elles ont pu les laisser avant de te fuir, d'une manière ou d'une autre. tu gardes cela intact et tu observes chaque jour avec plus de nostalgie la poussière se déposer dessus 4 › dunbrill. tu as vécu à londres durant quelques années. tu as adoré cette ville. mais c'est pour ta femme que tu es venu à dunbrill. et c'est parce que tu as voulu en partir que ta fille a sombré. alors, tu ne te sens nulle part réellement chez toi. ici, tu as ton travail, bien sûr et ta vie professionnelle est tout ce qu'il te reste, mais le fait est que chaque coin de rue, chaque bâtiment est susceptible de te rappeler ce que tu as perdu. et puis, bien qu'avec les récents événements, la ville soit plus vivante qu'auparavant, tu restes un brave petit citadin amateur de pollution, de bruits et de grandes rues. alors, tu hésites à déménager, pour essayer de tout reprendre à zéro, mais tu te sens vieux, fatigué, dépassé par les événements. et tu ne vois plus aucune utilité au fait de continuer à exister, ailleurs 5 › père. ton paternel était un homme bon. aimant, doux, tendre. fils unique, tu as reçu de lui toute l'intention qu'un enfant pouvait rêver d'avoir. pourtant, tu n'es pas devenu un bon père. tu n'as pas su montrer à ta fille que tu l'aimais et cela à partir du moment où sa mère est partie. peut-être alix t'en voulait-elle de ne pas avoir su la retenir ? quoiqu'il en soit, elle a commencé à te faire payer tes absences et tes silences par des comportements déplaisants. elle te répondait et tu ne trouvais rien d'autre à faire que de la punir. tu l'as ignorée, aussi, alors, elle recommençait de plus belle. pourtant tu aimais ta fille, plus que tout, mais elle te rappelait à quel point tu avais échoué dans ce domaine, toi qui a pourtant si bien réussi professionnellement ! tu n'as pas su le lui montrer et maintenant qu'elle n'est plus de ce monde, tu le regrettes amèrement. mais bien sûr, tu refuses de reconnaître que tu as ta part de responsabilité dans son décès. cela t'anéantirait 6 › anecdote, tic ou manie ici 7 › anecdote, tic ou manie ici 8 › anecdote, tic ou manie ici 9 › anecdote, tic ou manie ici 10 › anecdote, tic ou manie ici








réfléchi
perspicace
déterminé
patient


violent
méfiant
brisé
rancunier




» As tu perdu des proches à cause du sérum? Ou sont-ils devenus mutants à leur tour? tu te revois ce mercredi soir pluvieux. tu rentrais de ton travail, il devait être aux alentours de vingt-deux heures. la maison était sinistrement bruyante. la télévision, seule source de lumière, éclairait les murs d'une multitudes de points colorés. elle crachait un son fort au volume bien trop élevé. tom courrait après jerry sans jamais parvenir à l'attraper. sinistre histoire en vérité. mais cela t'arrache un sourire. tous les adolescents jouent aux grands. mais dès qu'ils sont seuls, il redeviennent irrémédiablement des enfants. tu te souviens t'être approché de la table basse en grognant cependant, peut-être plus pour la forme que véritablement. tu pourrais baisser le son quand même, on n's'entend plus ! tu t'es emparé de la télécommande et, lentement, tu as réduit cette musique infernale aux bruitages trop violents. c'est là, que tu l'as entendu. ce sinistre écho. celui du silence, lourd, pesant. instinctivement, tu as su que quelque chose n'allait pas, sans pour autant parvenir à mettre le doigt dessus. tu as réduit encore un peu le volume, tendant l'oreille, cessant de respirer. rendu sourd par les battements de ton cœur. alix ? tu reposes le boitier et te redresse. les coussins sont désordonnés, empilés de manière totalement chaotique. elle ne t'avait pas prévenu qu'elle sortait. elle n'avait pas le droit de sortir. peut-être la protégeais-tu beaucoup trop, mais toujours était-il que tu sentis monter en toi une vague de colère incontrôlable. père désabusé. alix ! père incapable de comprendre son enfant ou de s'en occuper correctement. tu te rappelles ensuite avoir contourné le canapé, pour te précipiter en bas des escaliers, écoutant le silence angoissant. tu avais monté ces marches quatre à quatre, presque en courant, et tu t'étais précipité dans sa chambre. une chambre dont on ne voyait plus les murs, noyés sous un nombre impressionnant de posters. alix ? vide. silencieux. sur le lit, tu distinguais l'ordinateur portable encore allumé et tu t'en approchais avec curiosité. orientant l'écran vers ton visage, tu sentais tes jambes se mettre à trembler, alors que tu découvrais la page et les différents onglets. se procurer b6h128. obtenir sérum. comment se faire une injection. méthode piqûre. dangers b6h128. tu lâchais l'ordinateur sur le couvre-lit et criais son prénom. alix ! la suite est encore confuse. tu te rappelles avoir couru jusqu'au salon, puis jusqu'à la cuisine, où tu l'as trouvée. tu te souviens de ses yeux exorbités, de ses convulsions, de sa tête qui heurtait le sol à chaque fois plus violemment. elle avait de la bave au coin des lèvres et du sang perlait de son nez. près d'elle reposait une seringue, vide. son visage était figé dans une expression d'horreur et sa bouche formait une succession de syllabes qui te poignardait chaque seconde un peu plus. elle appelait sa mère. elle ne t'appelait pas. tu t'étais précipité vers son corps et l'avais maintenu dans tes bras, contre toi, caressant son visage, lissant ses cheveux de la paume de ta main, essayant de la rassurer avec des paroles toutes trouvées. sht ma chérie. papa est là. papa va te sauver, tu m'entends, ça va aller. elle avait tourné les yeux vers toi et son regard accusateur te traitait de menteur. elle avait peur. elle pleurait et toi aussi d'ailleurs. mais tu essayais de retenir les larmes, pour l'apaiser. un homme ne doit pas pleurer. un père doit résister. tu serrais sa petite tête contre ton torse en fredonnant lorsqu'elle cessa de bouger. brutalement. tu étais lamentablement assis par terre et elle te couvrait à moitié. alix, ma princesse, mais qu'est-ce que tu as fait. et tu sanglotais en la berçant. tu ne sais pas combien de temps tu es resté sur le carrelage froid de la cuisine, avec le corps encore bouillant de ta fille contre toi. tu te souviens cependant avoir fini par te relever, alix dans tes bras comme une reine endormie. elle faisait son dernier voyage, dans son jean noir et son débardeur gris, sa tenue préférée, une tenue de circonstances. tout en noir et blanc. tu fis le trajet jusqu'à l’hôpital à pied, en silence, provoquant sur ton passage le hurlement des passants. mais tu ne les entendais pas. tu agissais mécaniquement, comme un automate. tu savais qu'elle était morte, qu'on ne pourrait pas la sauver, mais tu essayais. tu bravais l'intempérie, le froid et la pluie. tu bravais la nuit, les femmes qui s'évanouissaient en voyant le cadavre et les hommes qui s'écartaient sur ton passage. tu demandais l'impossible. tu exigeais l'impossible. tu voulais l'impossible. tu avais passé les portes de l’hôpital le regard vide, désemparé. les visages s'étaient tournés vers toi comme si tu étais une bête de foire. ta chemise blanche tâchée de sang, ta peau trempée. on était venu l'arracher à tes bras et il avait fallu te parler durant de longues minutes pour que tu daignes enfin la relâcher. les patients hystériques. les infirmières mielleuses. les flash des téléphones portables. on t'avait privé de sa chaleur et tu étais bien incapable de réagir. aujourd'hui, lorsque tu revis ce soir-là, tu te dis que tu aurais pu la sauver, si tu étais allé dans la cuisine plus tôt. si tu avais fait l'effort de rentrer à vingt heures comme elle te l'avait demandé. si tu avais été un véritable père pour elle. mais tu as la sensation d'être mort en même temps que ta fille. ton alix, qui aurait eu quatorze ans en fin d'année.


» Penses-tu qu'il faille mettre en place des lois pour limiter les libertés des mutants et protéger les gens normaux? deux jours après son enterrement, tu repris le travail. tu étais peigné, apprêté, prêt à passer à l'antenne. tout le monde se montrait très agréable, très compréhensif avec toi. très faux. tu répondais poliment et rassurais à coups de ça va oui. maquilleurs, directeur, producteur, cameramen. je peux le faire. régisseurs, monteurs. pas de problème. tu t'étais positionné au milieu du plateau, bien droit, et tu avais attendu. les dernières secondes avant le direct. trois. deux. un. et là, devant toute la communauté, devant le tout dunbrill, tu avais commencé à parler, de ce ton dramatique qui faisait toute ta renommée et ton succès. banalités devenues passionnantes à la sortie de ta bouche. les photos de l'hôpital avaient été publiées sur internet. tout le monde savait. cela t'avait attiré la compassion des gens, leur soutien. dans la rue, des vieilles dames venaient à ta rencontre s'adressant à toi comme elles le feraient pour un fils. tu faisais bonne figure, malgré tes yeux gonflés, encore baignés de larmes. mais lorsqu'en fin d'émission il te fallut aborder le sujet des mutants, alors, tu quittas des yeux le prompteur. regard clair perdu dans les profondeurs d'une caméra. tu posas tes fiches et commenças à t'exprimer, autant avec la voix qu'avec les mains, te déplaçant à travers le plateau comme un fauve en cage. prenant au dépourvu les responsables qui te faisaient signe d'arrêter. mais tu continuais. tu parlais de la mort d'une adolescente, avec autant de détachement que possible, comme tu aurais parlé d'une étrangère. froidement et pourtant, si engagé. tu évoquais le danger, la menace que représentait cette drogue, cette création. tu défiais un ennemi invisible avec cette allure d'homme brisé qui t'attirait désormais autant de sympathie que de pitié. mais tu n'étais absolument pas pathétique. parce que tu t'exprimais avec ton cœur et tu savais que tes paroles avaient un impact sur les téléspectateurs. lorsque la caméra s'arrêta de tourner, on vint t'annoncer que tu étais renvoyé. mais la minute d'après, on te réengageait et tu obtenais une promotion. le record d'audience de la chaîne. ton émission, ta personnalité. ton discours. ton opinion exprimée sans crainte et sans appréhension. s'il avait fallut le crier au monde entier, tu l'aurais fait. mais tu étais ce gentil monsieur de la télé. ce pauvre homme qui avait tout perdu. le drame de ta vie t'avait doté d'une autorité naturelle. d'un pouvoir extraordinaire: le poids de tes mots augmentaient à chaque seconde et entraînait avec lui des milliers de personnes, convaincues par ton regard, par ta présence. aujourd'hui, tu n'envisages pas de te lancer dans la politique, loin de là cette idée, mais tu n'hésites pas à dénoncer. à critiquer. à haïr les monstres qui ont œuvré à l'anéantissement du petit monde que tu t'étais créé. plus que les mutants eux-mêmes, tu maudits publiquement leurs créateurs. et à ta suite, se trouvent des centaines de personnes prêtes à t'écouter. parce qu'il ne faut pas sous-estimer le pouvoir des médias. une télévision dans chaque salon: c'est autant de possibilité de s'adresser directement aux gens. aux gens normaux que les autorités doivent effectivement protéger. peu importe le prix à payer.


» Crains tu les tensions naissantes? Et toi, tu te positionnes plutôt parmi les anti-mutants, les observateurs silencieux, ou ceux qui cherchent à apaiser tout cela? tu étais là quand la bombe a explosé. tu étais présent et tu as d'ailleurs failli y passer. tu venais entendre le maire et son beau discours, sans trop savoir quoi en penser. mais quand tu as senti le souffle brûlant de l'explosion sur ton visage; quand tu t'es relevé couvert de poussière et de sang, tu as su que tu ne resterai jamais neutre dans toute cette histoire. peut-être ne te manquait-il que cela, depuis la mort d'alix ? un électrochoc pour te faire réagir. tu as déambulé au milieu de la foule angoissée et des décombres un bon moment avant que les secours n'arrivent, relevant les femmes et les hommes qui réclamaient de l'aide à grands renforts de grognements plaintifs. vous m'entendez ? vous allez bien ? vous pouvez vous relever ? tu as même été l'un des premiers à témoigner, parce que tu étais resté conscient et que ton état de choc perpétuel depuis la perte de ton enfant semblait ô combien naturel. au fond, les tensions sont évidentes et tu n'es même plus certain de pouvoir les qualifier de naissantes. elles sont là, présentes, violentes et agressives. et tu te questionnes, depuis cet incident. un mutant ne prendrait pas la peine de poser une bombe. à moins de vouloir faire accuser un être humain ? ou bien tout ceci est-ce une ruse pour te faire perdre le fil de ton raisonnement ? tu es de ceux qui pincent les lèvres et serrent les dents, à la mention de ce sérum ou de ces mutants. oh bien sûr, tu n'es pas stupide: tu es conscient que séparer hommes et monstres serait la chose la plus illogique, la plus stupide au monde, puisqu'elle ne conduirait à rien. rien d'autre qu'une guerre. seulement, tu es aussi de ceux qui n'ont plus personne, plus rien à protéger. préserver la paix pour les générations futures ? on t'a privé de ta descendance. on te l'a volée, arrachée à tes bras tremblants au simple fait d'évoquer ton enfant; alors l'avenir de la planète, autant dire que cela te passe largement au-dessus de la tête. tu n'es que vengeance et haine. cœur meurtri, père éploré. lorsque tu penses à ta fille, tu te souviens du visage qu'elle avait en mourant; et tu sais que tu veux tuer les responsables de son décès. lorsque tu repenses à la mairie, tu te rappelles du goût qu'avait ton propre sang entre tes lèvres; et tu t'aperçois que ces êtres prétendument supérieur aux hommes ne sont que plus dangereux encore que ces derniers. humains avec le pouvoir. monstre dotés de tant de possibilités. cela t'effraie, cela te fait enrager. et cela te donne à chaque seconde une raison de plus de te venger.


» Si prendre le sérum était sans risque, céderais-tu à la tentation? Ou rester un humain normal est trop important pour toi? être un humain normal, banal, ordinaire. c'est quoi, au fond ? quelqu'un qui a des peurs, des regrets, des envies, des besoins. qui agit en fonction de son cœur, de sa tête, de motivations. tu n'es pas stupide. avec du recul, tu sais que ces "monstres", comme tu le dis si bien, sont des êtres vivants comme les autres. mais tes pensées sont confuses et tu dois te faire violence pour te raisonner. tu ne parviens pas encore à discerner parmi eux ceux qui n'avaient plus goût à la vie, ceux pour qui le b6h128 était le seul salut possible, ceux qui voulaient combler un manque devenu trop grand. tu ne parviens pas à voir ceux qui, comme ta fille, ont agis ainsi pour être enfin vus, enfin considérés. non, non, tu ne veux pas voir cela, ce serait bien trop douloureux pour toi. alors, tu t'entêtes. tu t'enfonces dans tes mensonges et tu persistes à dire au monde entier que définitivement, non, tu ne vois pas en quoi lancer des éclairs par les doigts serait un plus pour un être lambda comme toi. ou peut-être as-tu peur du risque encouru sans même t'en apercevoir ? tu n'as jamais été un lâche, au contraire. depuis toujours, tu fonces tête baissé pour obtenir ce que tu souhaites. pourtant, d'aussi loin que tu t'en souviennes, tu n'as jamais été un enfant très casse-cou. si tes parents étaient vivants, ils pourraient en témoigner - paix à leurs âmes. tu n'agissais jamais de manière inconsidérée, bien au contraire. tu montais aux arbres en repérant les branches les plus fiables; tu ne t'engageais pas dans l'inconnu sans avoir préalablement tout observé, tout analysé. alors peut-être attendu d'en apprendre plus sur le sérum ou peut-être te cherches-tu simplement des excuses pour te conforter dans ta normalité ? dans tous les cas, pour l'heure, une vie humaine est infiniment plus précieuse qu'une vie de mutant. et cela est tout à fait valable pour la tienne également.


» Raconte nous ce jour où, pour la première fois, tu t'es demandé si tu allais prendre le sérum. Qu'est ce qui a guidé ton choix? Qu'est ce que ça a changé pour toi par la suite?
Ecrire ici, une dizaine de lignes au minimum. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut diam leo, varius ac est id, ultricies volutpat neque. Integer id tempor felis. Curabitur consectetur aliquet fringilla. Aliquam vestibulum mattis nisl ac mattis. Cum sociis natoque penatibus et magnis dis parturient montes, nascetur ridiculus mus. Praesent tempor, elit accumsan accumsan convallis, magna ante pretium justo, ut accumsan enim sem ut leo. Mauris vel scelerisque risus. Duis eget ligula a nunc egestas ornare vitae id eros.  



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Dernière édition par Vaughan Baltimore le Mar 22 Sep - 22:02, édité 13 fois
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S. Maël Hollaister
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 12:13



Bienvenue parmi nous ! gaga

Si tu as la moindre question n'hésites pas, ma boite mp est faite pour ça. cute:

Bon courage pour la fin de ta fiche ! Bounce
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Ezeckiel H. Morgenstern
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 12:21

Le titre est beau Brille Bienvenue misster !
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 12:30

Le charme en personne bave Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! cute:
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 12:43

merci à vous tous cute:
@maël; pas de soucis, je n'hésiterai pas à te harceler ♥️
@eze; c'est tiré de toujours sur la ligne blanche d'Alain Bashung oui
@silver; crystal est magnifique aussi ♥️
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Hadrian Bergstrom
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 12:51

Officiellement bienvenue parmi nous !
Et on a envie de se perdre dans les yeux de Paul Newman gaga J'suis moins fan du groupe, en revanche, je sens que ça pourrait chauffer pour les petites fesses des mutants!
Bon courage pour ta fiche! super man
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 14:05

merci joli cute: j'adore ton choix d'avatar ! et effectivement, gare à vos fesses les mutants !
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Heaven L. Sweet
Heaven L. Sweet

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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 14:07

bienvenuuuuuuuuuue officiellement ! *offre un cupcake saupoudré de poussière de fée* j'ai hâte de voir ce que vas donner ton personnage ! Brille  le début est déjà très prometteur ! ♥️ Bon courage pour ta fiche ! cute:
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 15:32

Bienvenue sur le fofo ! Bonne chance pour ta fiche Magic sheep
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 16:25

@heavy; merci petite fée cute:
@Lly; merci joli ♥️
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 16:58

le personnage du tonnerre. Brille ça va chauffer, en même temps, ça va rendre nos vies plus palpitantes. pervers bienvenue parmi nous. cute:
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 18:27

merci mignon cute: en plus pour toi j'ai déjà une idée de lien !
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 20 Sep - 18:35

hé ben dans ce cas, j't'invite à me la partager quand t'auras le temps. gaga oh yeah
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S. Maël Hollaister
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptySam 26 Sep - 15:45



Coucou toi ! Hello

Cela fera une semaine (demain) que tu as débuté ta fiche. Pourrions-nous avoir quelques nouvelles de toi avant de la mettre dans les fiches en dangers ? cute:

Merci d'avance en espérant te revoir vite parmi nous. Bounce
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 27 Sep - 9:37

Exact, je n'ai pas eu le temps de terminer cute: est-ce qu'il me serait possible d'avoir un petit délai ? Je pense la terminer dans la journée, mais sait-on jamais...
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyDim 27 Sep - 16:10

BIENVENUE! Viens Vauger avec vous Hihi
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S. Maël Hollaister
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH EmptyMar 29 Sep - 12:43

Coucou !

Sans nouvelle de ta part je me dois dans l'obligation de mettre ta fiche dans les fiches en dangers. pleure Donnes nous des nouvelles ou dans quelques jours elle se retrouvera dans la corbeille malheureusement. pleure2 J'espère te revoir bientôt parmi nous. Merci d'avance. cute:
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MessageSujet: Re: mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH   mes yeux sont dans le miroir où je les ai laissés ‹ VAUGH Empty

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