Nous manquons cruellement de non mutants! N'oubliez pas qu'ils auront aussi un rôle important à jouer!
Dunbrill se situe au Royaume Uni, merci de limiter les personnages américains !
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| Sujet: (asshole) Sam 19 Sep - 0:20 | |
| ‹ javen vane › ft max irons27 ans 04/05/1988 dunbrill anglaise fiancé à la cocue bisexuel ex militaire/dealer we are the future |
MOLECULE MAN › la combustion moléculaire. la capacité d'accélérer ou ralentir les molécules, afin de figer dans le temps, exploser, fondre, jouer avec la matière et l'organique. un pouvoir aux limites dangereuses, qui prend cependant poussières en potentiel aux mains de la loque humaine qu'est jj vane. être instable depuis toujours, il amortit trop souvent son esprit avec la belle marijane et ses feuilles à l'arôme douceâtre, inconscient qu'il se laisse doucement devenir une bombe à retardement. s'il parvient à user simplement de son pouvoir, par exemple, en faisant fondre le plancher d'une voisine jusqu'à ce qu'elle tombe avec sa baignoire dans le salon du voisin du-dessous (d'accord, il s'est présenté plus de dommages que prévu), ou bien à augmenter la température du corps d'une vieille harpie jusqu'à ce qu'elle déboutonne ses vêtements devant tout le monde, une perte de contrôle de sa part peut amener de graves conséquences. il rêve souvent de scènes dignes de films d'actions, sales et saignantes. il se fait peur, parfois, mais suffit qu'il s'allume un nouveau joint et le cauchemar est fini. autant il se limite, autant les yeux lui brillent quand il pense à ses capacités, autant il veut apprendre, il veut se perfectionner. c'est le militaire en lui qui s'éveille quand il sent la force pomper ses muscles, c'est l'gamin qui gagne quand il s'imagine mettre sa petite sœur sur pause, figée dans le temps. reste à voir s'il acceptera la main qu'on lui tend, s'il accepte enfin de grandir. grandir avant sa mutation, avant que ça ne soit elle qui prenne les commandes. et qu'il apprenne toute l'étendue de son pouvoir en devenant l'auteur d'une catastrophe. |
» Ton don est-il à la hauteur de tes espérances? Pourrais-tu y renoncer, si c'était possible? son don, il lui offre la plus belle aventure. son âme à hurler son envie dans les premiers temps de l'apparition du sérum. c'était clair pour javen que l'expérience serait sienne. il ne renoncerait donc jamais à son don, qu'il considère comme un atout incroyable. les molécules touchent tout, elles se trouvent partout, laissant donc autant la méfiance que la fascination faire frissonner ses membres. loup solitaire, il sent le pouvoir rouler dans ses veines quand le contrôle lui échappe. il accepte son don, mais l'abrutit à défaut de savoir le manier. élan de paresse pour un militaire déchu, gamin effrayé de produire plus de mal que de bien. dans ses rêves il est maître de lui, de sa force, dans ses rêves, il saute tout le malheureux entraînement, et les échecs. maintenant qu'il a un ancre, une épaule sur laquelle s'appuyer, la montagne semble surmontable. peut-être que peter pan saura finalement comment grandir, comment jouer d'un splendide don offert à un vilain chat de gouttière. s'il prenait la peine d'enfiler son uniforme de soldat à nouveau, peut-être verrait-il la puissance dissimuler dans ses veines, le possible partage d'un quelconque bien.
aventurier débrouillard franc loyal je-m'en-foutisme |
procrastinateur borné perdu/noyé peter pan impulsif |
» L'heure de vérité?
Elle l'arrache un peu plus chaque jour. Elle ouvre ses veines, elle hurle, elle est brisée, la douce poupée. C'est la sienne, et malgré ses défauts, malgré sa peine infini, il l'aime, un peu. Il ne l'sait même plus. Ce matin, il s'attend au pire. JJ n'est pas rentré de la nuit, il a hurlé sous la lune avec ses potes, il a une fois encore offert le statut cocue à sa belle fiancée. Elle l'ignore, ou peut-être tente-t-elle d'oublier. De faire semblant. Comme ils font semblants depuis trop longtemps. Chaque pas semble résonner à mille lieux, l'anticipation mange ses entrailles. Il sent que quelque chose est différent, l'évidence pue. Quand il entre, le calme dérange. C'est une minute trop tranquille qu'il voit tranquillement mourir, alors qu'il marche, féerique, vers leur chambre. C'est là qu'elle apparaît, ses courbes en valeur dans un déshabillé aussi rouge que les lèvres d'une séductrice. Elle est belle, sa fiancée qu'il rend trop de fois cocue. Il se doute qu'elle aussi, elle aime bien briser le cœur d'âmes assoiffées d'amour. Le problème, c'est qu'ils ont trop essayés de s'aimer. À force, ils se détestent, parfois. Ils se font mal. En ce moment, JJ a envie de lui faire un genre de mal. Elle, par contre, elle a un autre plan en tête. Elle lève les paumes vers le haut, elle le laisse voir deux seringues auxquelles elle s'accroche comme à une bouée. I'm ready, qu'elle murmure, son ton fanée attirant finalement son attention sur le visage de la belle. Il observe ses yeux mouillées, il fronce les sourcils. You don't look ready, qu'il réplique, brisant lentement la distance entre eux. À force d'avancer, il remarque sa respiration saccadée. I am, so shut up and kiss me, qu'elle grogne, faisant disparaître l'eau de sa vision. Un fin sourire étire les lèvres du jeune homme, qui se dépêche de goûter la fraise sur la bouche de Astrid. Astrid, l'astre triste. Morte, sans lumière, et pourtant si désirable. Plus assez, puisque JJ apprend à l'oublier. Pas aujourd'hui, pas alors qu'elle poignarde son bras, pas alors qu'elle injecte le Sérum dans ses veines. Aussitôt, il recule, il protège de sa main sa blessure au pourcentage mortel. Elle s'est déjà injectée, elle recule vers le lit. Il suit, sentant déjà le mélange attaquer son organisme. Puis, Astrid hurle.
Le sable fouette son visage, force ses paupières à se plisser dans le vain espoir de se protéger des grains. Il marche, aujourd'hui, il ne fait plus que ça. Son lourd uniforme sur le dos, l'arme entre les mains, le soleil brûlant. C'est sale, comme aventure, ça craint. Peut-être qu'il a trop joué à Call of Duty, peut-être qu'il n'a pas encore assez vieillit. L'âme jeune, le rêve encore grand. Il veut juste aider sa sœur, la voir fleurir, la voir profiter. Chaque pas qu'il fait le ramène brusquement à la réalité, la terrible possibilité qu'il échoue. Il cligne des yeux et la nuit est là, le campement est silencieux, les soldats ensommeillés. Vane s'éloigne, s'abrite sous l'ouverture d'un immense rocher abandonné. Le sombre désert ne lui promet aucune aventure, pour une journée de plus. Vraiment, il ne sait pas à quoi il s'attendait. Pas à ça. Pas à pouvoir se dissimuler pour fumer un joint, à cracher ses poumons sur la fumée amère. Il prend son temps, déguste même plus qu'un ami de papier, le rire facile, le premier sourire sur son visage abrutit. Quand il réussit à convaincre son esprit embrumé qu'il est bien, là, ici, l'apocalypse décide de lui casser les couilles. Elle frappe dans une explosion trop rapprochée, il se ramasse un bout de rocher derrière la tête. Ses oreilles bourdonnent, le monde danse autour de lui dans des éclats effrayants. C'est la fin, peut-être. Une belle aventure. JJ, il sait toujours marcher, alors il avance, l'arme au poing, l'esprit évadé. Trop évadé. VANE, TAKE COVER NOW, que son commandant lui gueule. Il tourne la tête, il se sent finalement à découvert, nu. Il rit, le bougre, mais trop tard. Une balle le frappe, écorche le bas de son oreille et le côté de sa joue. Raté de peu, son cœur commence à battre si fort dans ses oreilles qu'il devient sourd au reste de la cacophonie. Il voit les lèvres de son commandant lui hurler quelque chose, Javen tente de le rejoindre le plus rapidement possible. Une nouvelle balle le frappe à la cuisse, et il tombe. Le bourdonnement revient plus fort que jamais, voile même ses yeux qui avalent peu des prochaines scènes. On vient à son secours, le commandant et un autre soldat. JJ a la tête qui tourne, et quand on le soulève de terre, il perd presque connaissance. Le soldat d'à côté se fait descendre, juste devant ses yeux. Figé, il est tiré par son supérieur. Et Vane, il craque un peu de l'intérieur. Il est pas sensé, il se fout toujours de tout. Pas cette fois, pas cette mort. Sa faute, sa mort. L'abîme prend possession de ses yeux, le vide attire son corps désarticulé. Il sombre, le gamin, l'aventurier stupide et le drogué inconscient. Un seul enfoiré, tombé dans les draps du néant.
Deux mois ont passés, dans le sablier du temps, depuis la prise du Sérum. Sa vie brouillée se voit vêtir des nuages blancs, sa vie soudainement plus attrayante. JJ, il se fout un peu d'user de son don où il veut. Tant qu'à avoir braver mont de douleurs, aussi bien profiter de ce que l'on en retire. La prudence veille toutefois au grain, puisque l'ancien militaire a aussi des produits en vente. De la drogue douce et dure, et surtout, quelques seringues de Sérum. Elles s'entassent que quelques unes à la fois dans ses biens, peu séduit à l'idée de se faire prendre avec la dangereuse marchandise. Elle offre un si bon prix qu'il se refuse à l'oublier, osant risquer le tout pour le tout afin de ramener des billets verts à la maison. Aujourd'hui, cependant, c'est la colère qui tire les ficelles. Wha' bout the fact me being your customer fo' two years now? qu'il beugle, le client cochon, le gourmand qui a oublié de travailler avant de dépenser. JJ, les avances, il s'en branle. Il ne le fait pas, pour personne. Rarement, parce qu'il con, il fait des cadeaux, et Vane espère pour Bob qu'il n'ira pas jusque-là. Ce dernier a le visage rouge, la température de son corps augmentant sinueusement d'un ou deux degrés. C'est le mutant qui fait ça, il use un peu de son pouvoir pour emmerder l'emmerdeur. Ça fonctionne, pas assez, et ses propres molécules se chauffent tout naturellement de rage. Sa dernière dose de high remonte à loin, son esprit est chauffé à blanc. Come on, mate. Why won't ya give me some fo' free? Au moment même où sa phrase termine, plusieurs pots de vitre éclatent autour d'eux. Wha' the fu- Bob est brusquement coupé par l'explosion des fenêtres derrière lui. JJ est sur le point de perdre le contrôle. Go, NOW, qu'il crache trop durement, sans manquer l'effet estompé de voir Bob s'enfuir sans demander son reste. Seul, nullement réconforté à l'idée qu'il ne deviendra pas un meurtrier ce soir, il tourne sur lui-même. Sa respiration n'arrive pas à se calmer, alors qu'il voit l'entrepôt changer autour de lui. À cause de lui. Balls, what should I fucking do? qu'il se murmure, triste tentative de se calmer, avec le ton paniqué de sa voix. Une de ses mains trouve refuge dans la poche de son pantalon, puis une vague d'apaisement relaxe les nerfs tendus du brun. Même les murs semblent ralentir leur enthousiasme à se briser, laissant JJ profiter du bout de joint qu'il glisse entre ses doigts. Il accompagne le tout d'un briquet, assoiffé de cendres, de fumée, d'un peu de magie salvatrice. Tranquillement, la structure de l'entrepôt s'apaise, revient bien matériel immobile alors que JJ trace son chemin dans les débris, à la recherche de la sortie. Il observe les déformations, la vitre explosée, les murs craqués. Il tombe même sur du métal à moitié fondu. Encore du brisé qu'il laisse derrière lui. Il est bon, pour merder, l'enfant du milieu. À force de refuser de grandir, à force de se cacher derrière la peur, de ne pas vouloir essayer, il devient un froussard. JJ, il a toujours rêvé d'aventure. Pourquoi n'arrive-t-il pas à embrasser la plus spectaculaire? Perdu dans son monde imaginaire, il ne remarque pas l'ombre qui s'éclipse, témoin silencieux d'un Peter Pan à la dérive.
You are the worst soldier that I have ever met. And don't be stupid enough to think that I did'nt see a fucking lot of shitty soldiers, que le commandant prononce d'un ton vide, ravalant son envie d'hurler à la tête de con ses quatre vérités. Il se contente d'avancer, de poser violemment une enveloppe sur la table de chevet de JJ, avant de tourner les talons et s'éloigner. Javen regarde le papier, conscient qu'à l'intérieur, il trouverait la confirmation qu'il ne fait maintenant plus partie de l'armée. Relégué au rang de simple civil, jeté à nouveau dans les rues sales du Sud. Home sweet home. Il ne remarque pas son commandant figé dans la porte, une main sur la poignée. Il ne remarque pas, jusqu'à ce qu'il recommence à parler. A man died because of you. He died because you can't grow up. But you have to. I hope you suffer from that, because it's the only way you'll learn how to become a man. You're a stupid asshole, but you could be better. La vérité, un poison mordant, souvent nécessaire. Il sait, il se bouffe de l'intérieur, l'entendre d'un autre, d'un ancien patron, ça ramasse comme un train. Il a échoué, comme il se l'était prédit. Il a échoué sa Cora, il a échoué la famille de ce frère tombé au combat. When can I leave this place, doc? qu'il demande quelques minutes plus tard, quand son médecin lui rend une de ses rares visites. Oublier, voilà ce qu'il désire. Oublier ce nouvel échec, oublier les regards exaspérés qu'il va recevoir, quand il va raconter comment il s'est fait mettre dehors de l'armée. Naturellement, il ne dira pas un mot à propos de Joshua White, le soldat, il ne laissera pas les mots du commandant s'emparer de son cœur. Il ne laisse pas la moindre larme couler, il avale ce qu'il ressent sans prendre le temps de le vivre. Il refuse de grandir, il refuse de regarder autre chose que son nombril. Il se lie d'amitié avec la paresse, la vie facile. Un soldat de plomb inutile. Il ne sait pas encore comme les paroles du commandant vont le hanter. Il ne sait pas encore.
Vane. Une vanité ayant perdu quelques lettres, plus que l'ombre d'elle-même. Il fut une époque où ils brillaient, noyés sous la richesse de leur patronyme. Il fut une époque ils furent grands, jusqu'à ce que le grand-père des présents héritiers du nom plonge les Vane dans la pauvreté. On s'en fout un peu, maintenant, de c'qui s'est passé. Le Sud de Dunbrill, voilà leur vie. Leur présent, leur futur. Terne, sale, pauvre. Le temps de quelques rêves, JJ s'est sauvé. Il a enfilé l'uniforme, bercé par de mauvaises illusions. Il est tombé, le soldat, il s'est tué. Alors il est revenu, bredouille, à la maison. Il s'est excusé d'un regard à sa sœur, il n'a pas pipé un mot à son frère. À rêver d'aventures, il commence presque à croire qu'elles n'existent pas, pas vraiment. Il n'a pas longtemps cherché un bon boulot, reprenant son ancien job de dealer. Carrière qui lui glisse sur le corps comme une deuxième peau. Ce monde sombre, il s'y est perdu gamin, quand il a décidé de suivre son père. Vieil ivrogne à la main lourde sur le visage du bébé d'la famille. Homme que les enfants ne voient plus depuis de longues années, les frères incapables de lui pardonner ses gestes effrontés. Peut-être que le passé malhonnête de leur géniteur est la principale raison pour que l'aîné s'énerve autant au sujet des choix de vie de JJ. Le vilain petit canard s'en branle, il fait ce qu'il veut, ce qu'il peut, et se réjouit de rapporter autant. L'aîné n'est pas dupe, il sait que les entrées de billets verts concordent avec le début de l'épidémie mutante. Les Vane, une ancienne famille pleine, des maudits, de beaux bons à rien aux teintes tragiques.
Just stop. Drop the loser act, be better. La réponse innatendue, le ton décontracté. Toute la pression s'évanouit, il regarde l'autre, sa bouche enflammée réduite au silence. Noa, le prince blanc du Sud. C'est à se demander ce qu'fait un si preux chevalier parmi la racaille. Surtout ce qu'il fait avec JJ, sa pire moitié. Ils se prennent souvent la tête, tous les deux, mais se retrouvent souvent perdu, une bière à la main, à parler de tout et de rien. JJ dresse parfois un mur, quand il réalise qu'il a plus envie de voir Noa que sa fiancée. Il fuit, la fuite est son échappatoire, son salut, sa mauvaise marque de commerce. Tout ça depuis qu'il n'a jamais pu digérer le suicide de sa mère, cette femme forte qui n'en pouvait plus de voir son mari boire leur peu de revenu. Noa, lui, il laisse jamais sa lumière s'éteindre, peu importe les coups bas que la vie lui éclate dans la gueule. No offense but, you say you're grateful, still, you're high all the time and you do, well, nothing to train yourself, que le supposé professionnel radote tranquillement. Vane laisse un sourire étirer ses lèvres, geôlières d'un énième joint. Néanmoins, il a raison, le semi-saint. What about, a deal? qu'il sourit, la gueule pleine de fumée. Il tend la belle mari à son ami, qui accepte en secouant doucement la tête. I'll follow your training, and you tell me your story in return. Parce que le preux chevalier, il n'est ici que depuis quelques courtes années. Il raconte qu'il s'est perdu, qu'il n'a plus envie de se retrouver, alors il reste. JJ, il est dévoré par la curiosité, sans jamais insister. Quels secrets cache Noa dans ses placards poussiéreux? De silencieuses minutes s'évadent où ils se contentent de boire tranquillement, Javen conscient du possible débat intérieur de son ami. Ami, qu'il se moque intérieurement. Il a longuement tenu inconscient son attirance, il lui est toutefois difficile aujourd'hui de nier l'évidence. Son intérêt envers Noa est plus qu'amical, principalement parce qu'il ne peut s'empêcher d'être attiré par son aura de mystère. Pas qu'il soit honteux de son attirance pour les hommes, il trouve juste plus simple d'être impliqué avec une femme. Peut-être est-ce une raison du pourquoi il se refuse de quitter sa fiancée, pour qui son cœur ne semble battre qu'à demi-mesure. Et puis il y a charmant Noa, qui trouve toujours moyen de lui voler son souffle. OK, I'm in, que le principal concerné laisse s'échapper. Ils partagent un regard, un peu trop long, un peu trop apprécié. Un accord silencieux, une nouvelle aventure. Tant que le chemin épineux dévoile bières à quelques tournants, ils grandiront, enfin, pour devenir de pâles imitations de dieux. ‹ Hors jeuPSEUDO / PRÉNOM › sans pseudo fixe, une de plus. AGE › j'ai presque fait sauté la cervelle à ce quart de siècle. RÉGION › où l'froid revient toujours trop vite, l'beau québec. PRÉSENCE › le plus souvent que les mutations de la vie me le permettent. AS TU OPTÉ POUR UN SCENARIO OU UN INVENTÉ › un sale inventé. TON AVIS SUR LE FORUM UN DERNIER MOT ›
Dernière édition par Javen Vane le Dim 20 Sep - 6:47, édité 51 fois |
| | | Ezeckiel H. Morgenstern
› Messages : 522 › Date d'inscription : 18/09/2015 › Pseudo : V. (Quentin) › Avatar : dylan o'brien › Crédits : bidbadwolf
| Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 0:23 | |
| Welcome misster ! Le titre est tellement beau |
| | | Hadrian Bergstrom
› Messages : 181 › Date d'inscription : 09/02/2015 › Pseudo : Pawnee (Violaine) › Avatar : Max Riemelt › Crédits : Shiya
| Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 0:24 | |
| le titre, le job, max... je sens que je vais aimer ce perso, moi! En plus, pur produit de Dunbrill, ça m'intrigue encore davantage! Dans mes bras, camarade! Et bon courage pour ta fiche! |
| | | | Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 0:29 | |
| Bienvenue sur le fofo !! Bonne chance pour ta fiche ♥ |
| | | | Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 0:37 | |
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| | | | Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 0:39 | |
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| | | Hadrian Bergstrom
› Messages : 181 › Date d'inscription : 09/02/2015 › Pseudo : Pawnee (Violaine) › Avatar : Max Riemelt › Crédits : Shiya
| Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 0:42 | |
| et comment, on va trouver ça! (je sais pas quand tu as zieuté, du coup, parce que j'ai rajouté quelques lignes pas plus tard que y'a 5 minutes...)je te laisse faire ta fiche tranquillement, je te sauterais dessus quand elle sera plus avancée |
| | | | Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 1:01 | |
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| | | | Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 1:51 | |
| Bienvenue toi |
| | | | | | | S. Maël Hollaister
› Messages : 446 › Date d'inscription : 12/09/2015 › Pseudo : Jeager/Last Sunrise › Avatar : Francisco Lachowski › Crédits : Ava: TAG/gif signa: Never Say Never
| Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 2:36 | |
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| | | | Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 7:34 | |
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| | | S. Maël Hollaister
› Messages : 446 › Date d'inscription : 12/09/2015 › Pseudo : Jeager/Last Sunrise › Avatar : Francisco Lachowski › Crédits : Ava: TAG/gif signa: Never Say Never
| Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 9:31 | |
| Je te fais ça de suite. |
| | | Heaven L. Sweet
› Messages : 250 › Date d'inscription : 18/09/2015 › Pseudo : lady drake. › Avatar : emilia clarke. › Crédits : lady drake.
| | | | | Sujet: Re: (asshole) Sam 19 Sep - 18:13 | |
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| | | Lanalia Jarmusch
› Messages : 40 › Date d'inscription : 19/09/2015 › Pseudo : Twoheadeddog › Avatar : Jessica Nigri › Crédits : Instagram
| Sujet: Re: (asshole) Dim 20 Sep - 9:05 | |
| SAEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEZ ! Hum, pardon, bienvenue! |
| | | | | | | S. Maël Hollaister
› Messages : 446 › Date d'inscription : 12/09/2015 › Pseudo : Jeager/Last Sunrise › Avatar : Francisco Lachowski › Crédits : Ava: TAG/gif signa: Never Say Never
| Sujet: Re: (asshole) Dim 20 Sep - 12:05 | |
| tu es validé(e) ! Donc je te souhaite une nouvelle fois Bienvenue sur le forum, j'aime beaucoup comment tu écris et ton personnage est assez complexe, j'aime ça. Bref, j'espère que tu te plairas parmi nous ! Enjoy. Félicitations! Tu as passé avec succès l'épreuve de la présentation! Te voici donc validé, et prêt à jouer parmi nous. Pour être sûr d'être bien armé dès le départ, voici quelques liens qui pourraient t'être utiles. Tout d'abord, tu pourras créer ta fiche de liens par ici, pour te lier avec nos autres membres. Ensuite, si tu as un lien bien précis en tête, il t'est possible de le faire sous la forme d'un scénario ou d'un pré lien, à toi de voir. N'oublie pas non plus de te recenser dans listings! Enfin, passe nous faire un petit coucou du côté du flood!
Bon jeu parmi nous !
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| | | | | | | | Sujet: Re: (asshole) | |
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